- Enseignant: Katja HENZE
- Enseignant: Nathalie SCHNITZER
AMeTICE - Enseigner et apprendre avec le numérique
Résultats de la recherche: 4812
M1 — « Les métiers de la traduction littéraire », 18 HETD. Mardi de 10 h à 12 h.
Les développements récents des intelligences artificielles pour le traitement des langages naturels ont suscité de nombreuses inquiétudes quant au futur des métiers de la traduction. Bien que ces craintes animent principalement le milieu de la traduction technique, le monde littéraire est lui aussi appelé à se confronter à de nouvelles technologies de traduction et à ce qu’elles impliquent en matière d’économie et d’organisation du travail. Ce cours sera l’occasion pour retracer l’histoire de la traduction automatique en observant les conceptions du langage, les spéculations philosophiques et les modèles technologiques qui en ont conditionné le développement jusqu’à aujourd’hui. Nous nous questionnerons sur le rôle que jouent les procédés de traduction automatisés dans les industries langagières et dans le monde littéraire. Pour ce faire, nous allons mettre en résonance la théorie de la traduction automatique (linguistique informatique, cybernétique, anthropologie du langage) et les représentations issues de certains récits science-fiction, où se jouent des énigmes et des spéculations très riches pour penser le présent et imaginer les futurs possibles des métiers de la traduction. Un cahier de textes sera distribué en cours.
Modalités d’évaluation :
La note finale sera calculée sur la base de : 1. la participation 2. un exposé en groupe ou individuel à l’issue d’une séance de travail en cours 3. un devoir sur table.
- Enseignant: Gabriele STERA
- Enseignant: Maxime CHINAUD
- Enseignant: Gabriel FARAG
- Enseignant: Cedric MEAUX

- Enseignant: Catherine ATLAN

Ce cours a pour but d’offrir une compréhension, sur le temps long, des processus de transformation physique des villes et des territoires. Au travers d’un ensemble de 7 séances organisées autour d’un fil historique, ce cours se propose d’en analyser les grandes évolutions, de la naissance des villes au « règne de l’urbain » contemporain.
La construction de la ville, principalement européenne, sera ainsi analysée à ses différentes époques (antique, médiévale, renaissance, classique, industrielle, moderne, contemporaine…), en tant que stratification d’expériences successives sur lesquelles les urbanistes sont amenés à conduire leurs interventions.
Après une séance introductive, le cours abordera les processus de (re)naissance, de croissance et de transformation des villes au fil du temps.
Puis, dans un second temps, l’émergence de l’urbanisme comme discipline consciente et autonome au cours de la deuxième moitié du XIXème siècle sera repositionnée au regard des transformations radicales que connaissent les villes suite à la révolution industrielle.
Le cours se terminera avec une ouverture sur les débats urbanistiques contemporains.
Lecture obligatoire :
Le chapitre « L’urbanisme en question » introductif de l’ouvrage de Françoise Choay : L'urbanisme, utopies et réalités. Une anthologie, Paris, Le seuil, 1965 et rééditions, p. 7-83.
Evaluation du module :
Contrôle terminal sur table de 2h
- Enseignant: Benoit ROMEYER

Bienvenue sur la page Ametice du cours HSLBU12 - Dynamiques sociolinguistiques (Master Sciences du Langage, Parcours Linguistique)
A partir d’études de cas, ce cours présente une approche des dynamiques sociolinguistiques, en fournissant des concepts et des outils de description.
Le cours met l’accent sur la dimension politique des questions linguistiques, notamment dans le cas de situations complexes et/ou sensibles : hétérogénéité linguistique, langues en danger, langues minorisées, migrations, bouleversements géopolitiques… Il analyse aussi les politiques linguistiques (supranationales, nationales, régionales, locales, institutionnelles), leur mise en place sous forme de planification et leurs effets. Le cours s’appuie sur de nombreuses études de cas.
- Enseignant: Mederic GASQUET-CYRUS
- Enseignant: Nathalie SCHNITZER

- Enseignant: Alexey MURANOV

- Enseignant: Francis AIGUESPARSES
- Enseignant: Pascale AUSSILLOUS
- Enseignant: Hafida BENOSMAN
- Enseignant: Laurence BERGOUGNOUX
- Enseignant: David BRUTIN
- Enseignant: Jean-louis CONSALVI
- Enseignant: Blanche DALLOZ
- Enseignant: Eric DANIEL
- Enseignant: Jean-vincent DAURELLE
- Enseignant: Cherifa DAVID
- Enseignant: Thomas FASQUELLE
- Enseignant: Jean laurent GARDAREIN
- Enseignant: Jonathan GASPAR
- Enseignant: Geoffroy GUENA
- Enseignant: Georges JOURDAN
- Enseignant: Benjamin KADOCH
- Enseignant: Lionel LARCHEVEQUE
- Enseignant: Olivier LE METAYER
- Enseignant: Christophe LE NILIOT
- Enseignant: Christian MARIANI
- Enseignant: Jean-yves MARTIN
- Enseignant: Jacques MASSONI
- Enseignant: Marc MEDALE
- Enseignant: Jean denis PARISSE
- Enseignant: Vincent PAVAN
- Enseignant: Chantal PELCE
- Enseignant: Fabien PETITPAS
- Enseignant: Fabrice RIGOLLET
- Enseignant: Richard SAUREL
- Enseignant: Lounes TADRIST
- Enseignant: Frederic TOPIN
- Enseignant: Jerome VICENTE
- Enseignant: Laurent REGNIER
- Enseignant: Gildas CARLIN
- Enseignant: Jean louis MILAN
- Enseignant: Muriel AMATORE
- Enseignant: Olivier CHUZEL
- Enseignant: Jean antoine RODRIGUEZ
L'enseignement alterne CM, TD et TP dans les mêmes séances. Les étudiants reçoivent le minimum de cours de français en magistral, ce sont essentiellement des cours de méthodologie avec quelques rappels sur la syntaxe, l'orthographe ou la grammaire. Ils doivent produire CV, lettres de motivation, des notes de synthèse, des mémoires sur des thèmes en rapport avec la formation, certains défendus à l'oral.
- Enseignant: Jean-marc AIMONETTI
- Enseignant: Yvette AZOGUI
- Enseignant: Claude CAYRIER
- Enseignant: Natacha MOREAU
M1 — HTIAU10 — Pratique de la traduction littéraire (traduction de l’italien).
Lundi de 14 h à 18 h.
Descriptif :
Si l’on se tenait à l’observation des collections de poésie des grandes maisons d’édition, la poésie contemporaine italienne pourrait sembler aujourd’hui un terrain assez traditionnel et relativement peu inventif. Pourtant, une vitalité insoupçonnée et une grande variété de pratiques d’expérimentation s’abritent dans des circuits éditoriaux moins exposés. Ce cours aura pour objectif non pas de donner une vision panoramique de la poésie contemporaine italienne, mais plutôt de faire émerger une cartographie fragmentaire des formes d’écriture expérimentales, de leurs plateformes de débat critique et de leurs systèmes éditoriaux (lit-blogs, critique militante, exoédition). À partir des expériences de la Neoavanguardia des années 1960 jusqu’à l’extrême contemporain, nous nous embarquerons dans une exploration par échantillonnage de plusieurs expérimentations poétiques italiennes, en faisant émerger les polarisations stylistiques et les usages de la langue qui en font la particularité. Ce travail exploratoire sera doublé d’une pratique de la traduction de l’italien vers le français : chaque séance commencera avec une lecture critique proposée par l’enseignant, pour s’ouvrir ensuite, à la manière d’un salon de recherche ou d’un atelier de traduction, à la traduction collective de textes récents. Les participant•es seront amené•es à explorer des revues et des archives, et à proposer des textes à lire et à traduire collectivement. Un cahier d’extraits sera distribué en cours. Un bon niveau de langue italienne est nécessaire.
Modalités d’évaluation :
La note finale sera calculée sur la base de : 1. la participation 2. un exposé en groupe ou individuel à l’issue d’une séance de travail en cours 3. un dossier avec un projet de traduction ou une série de traductions commentées, à rendre en fin de semestre.
- Enseignant: Gabriele STERA
M1 — La traduction dans l’histoire littéraire, 18 HETD.
Mardi de 15 h à 17 h.
Descriptif :
On désigne par le terme de pseudotraduction ces œuvres littéraires qui, pour de multiples raisons, se présentent comme des traductions alors qu’elles ne le sont pas. Qu’il s’agisse d’un infragenre parodique, d’une stratégie éditoriale ou d’un procédé métanarratif, ce type d’œuvre réalise le paradoxe d’une traduction sans texte source, en prenant tour à tour la forme d’une supercherie littéraire ou celle d’un cas limite de l’émancipation du geste de traduction. Nous allons voir comment, dans l’histoire littéraire, la traduction a pu servir de dispositif de diversion créative ou de ressort métalittéraire : du célèbre modèle de Cervantes aux Lettres de Montesquieu, des fictions bibliographiques de Borges aux cas scandaleux de Vian et de Queneau, jusqu’à l’improbable traduction du français au français de Nicole Brossard pour n’en citer que quelque un. Ces textes, en mettant en scène l’espace de traduction comme une fiction, font émerger les frictions linguistiques, économiques et morales de leur temps. À l’appui de textes théoriques qui ont tenté de clarifier ce phénomène littéraire (Popovic, Toury, Martens & Vanacker, Jenn), nous allons étudier des préfaces de traducteur•ices supposé•es, des récits de péripéties éditoriales, des histoires d’originaux inexistants qui existent pourtant bel et bien en traduction. Un cahier de textes sera distribué en cours.
Modalités d’évaluation :
La note finale sera calculée sur : 1. La participation 2. Un exposé en groupe ou individuel autour d’un cas de pseudotraduction. 3. Un devoir sur table.
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- Enseignant: Gabriele STERA

Ce cours est une introduction à l’analyse des décisions incertaines dont les conséquences résultent de forces qui échappent au contrôle du décideur. Après avoir introduit les principaux concepts pertinents pour l’analyse de ces décisions (en particulier ceux d’actes et de distributions de probabilités, de risque, d’incertain et d’ambiguïté), on discute le modèle important et largement utilisé d’espérance d’utilité. On étudie ensuite comment on peut mesurer le risque et définir une attitude par rapport à celui-ci à l’intérieur de ce modèle. On utilise ensuite ce modèle pour étudier les décisions d’assurance et d’investissement dans le cadre stylisé où l’information sur les risques est également partagée par les agents et dans celui, plus réaliste, où le partage de cette information est inégal.
English:
This course is an introduction to the analysis of uncertain decisions whose consequences result from forces that are beyond the decision maker's control. After introducing the main concepts relevant to the analysis of these decisions (in particular those of acts and probability distributions, risk, uncertainty and ambiguity), we present the important and widely used model of expected utility. We then study how risk can be measured and how an attitude towards it can be defined within this model. We then use this model to study insurance and investment decisions in the stylized framework where information on risks is shared equally by agents and in the more realistic one where the sharing of this information is unequal.
- Enseignant: Marcel ALOY
- Enseignant: Nicolas GRAVEL

This lecture introduces the essential tools commonly used to describe continuous-time (analog) and discrete-time signals, images and noise, mostly from a deterministic waveform point of view. Continuous-time waveforms will be represented by direct mathematical expressions or by the use of orthogonal series representations such as the Fourier series. Properties of these waveforms, such as their DC value, root-mean-square (RMS) value, energy and power, magnitude and phase spectrum (through the Fourier transform), power spectral density, and bandwidth, will be briefly recalled or established. Systems are used to manipulate these waveforms, using various operations like the scalar product, convolution and correlation. In addition, effects of linear filtering will be briefly studied.
Most of these tools can be extended to images, considered as 2D signals depending on two space coordinates (x,y), which can also be described in the frequency domain by a spectrum depending on a spatial frequency. The sampling theorem viewed as a special orthogonal series expansion allows representing an analog signal by a limited number of samples acquired above the Nyquist frequency. The spectrum of a given waveform (discrete-time or analog) can be conveniently calculated using the discrete Fourier transform (DFT), one of the main tools of the so-called “digital signal processing” domain (DSP). Across the lecture, actual systems used in signal storage, transmission and modulation, multiplexing, video signal coding, lossy signal compression (principle of JPEG standard) will be explained.
We want to actively engage the student as early as possible in the actual design of practical signals and systems. Through several hands on laboratories based on GNU Octave (through the collaborative platform for scientific computation CoCalc), the students will develop useful and realistic “expert systems” and implement their own solutions, e.g. in signal estimation and identification.
At the end of this lecture, the students should have learned a significant amount of signals and systems concepts, tools and theory, have developed an awareness of a number of problems/tasks that signals and systems engineering addresses, and be capable of resolving some signals and systems problems using GNU Octave or MatLab, a widespread tool used in R&D worldwide.
- Enseignant: Laurent NONY
- Enseignant: Jean-marc THEMLIN

- Enseignant: Catherine ATLAN

Enseignement de Tronc commun de mécanique quantique du master de physique.
Quantum mechanics lecture in the common core of the physics master's degree.
Lecturers : Laurent RAYMOND and Elena CANNUCCIA
Fig: Python simulated time evolution of the density probability of presence of a particle in a double slit experiment
- Enseignant: Elena CANNUCCIA
- Enseignant: Laurence KOVACIC
- Enseignant: Thomas KRAJEWSKI
- Enseignant: Serge LAZZARINI
- Enseignant: Laurent RAYMOND
- Enseignant: Pierre TAXIL

- Enseignant: Natalia BAULINA